« Le Karaté », au singulier et que nous plaçons entre guillemets, est un ersatz simplifié, dénaturé, unifié, sportivisé, régulé, etc., des formes modernes du Karaté, art martial qui englobait dans la première partie du 20e siècle au Japon, principalement quatre grands arts martiaux à mains nues, non japonais, géographiquement issus de la zone d’influence coloniale du Japon, la Presqu’île d’Okinawa, et qui, importés au Japon, furent japonisés, dans les Années 30.
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L’Orléanisme définit tout d’abord une forme de gouvernement politique en France exercé lors de la Monarchie de Juillet (1830-1848), installée sur les troubles venus achever la période de la Restauration et sur la Révolution de 1830. En Juillet le pouvoir fut remis à Louis-Philippe d’Orléans pour le recevoir en qualité de monarque, et celui-ci, adoptant l’appellation de roi des Français, créa une monarchie de toutes pièces.
Cet période, qualifiée aussi de monarchie parlementaire, correspondit à la première mise en application du Libéralisme marchand et d’une manière générale, de l’idéologie libérale.
Le nom d’Orléanisme a qualifié au 19e s. les personnages qui ont défendu politiquement, notamment les députés appartenant à cette ligne politique, la Monarchie de Juillet.
Par extension il a désigné ceux qui, au 19e s., approuvaient cette ligne ou qui adhéraient aux actes ou aux idées de Louis-Philippe et plus généralement, à la démarche dynastique des Orléans, exprimée par la Monarchie de Juillet, puis par les divers essais de ligne politique manifestés après cette expérience du pouvoir .
Le terme d’Orléanisme, et l’adjectif orléaniste, sont impropres à désigner la formule représentée par les Princes d’Orléans depuis le 19e s., se référant pas à la Monarchie de Juillet.
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Le Carlisme est une doctrine politique née en Espagne au 19°s., issue d’une perception des règles de la succession traditionnelle de la dynastie espagnole, inséparables du lien qui unit la maison de Bourbon aux particularismes populaires régionaux et aux libertés.
Son élaboration est indissociable des maquis et des combats Carlistes conduits par les Bourbon-Madrid depuis Don Carlos, auxquels ont pris une part directe les Bourbons de la branche de Parme qui allaient leur succéder.
Il est un rejet des conceptions administratives rigides importées par les libéraux français qui entouraient le trône de Ferdinand VII et d’Isabelle.
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